Le breton de « Girwet entertainment » nous propose une nouvelle vidéo d’escalade sauvage Made in BZH. Pendant une minute, on y découvre un spot outdoor situé à Lesconil dans le Finistère (29).
Escalade sauvage en Finistère
Cette vidéo raconte d’une manière générale les différentes étapes de la découverte d’un bloc jusqu’à son enchaînement. Alliant force et technique, cette activité sportive sollicite autant la tête que le corps de l’athlète.
C’est donc sur la côte de Lesconil, que Mathieu Corbet gravit un highball (un haut bloc) de 6m, en partant d’une aire de départ chaotique. Car oui, faire de l’escalade sauvage sur nos côtes bretonnes se traduit par :
Gravir un littoral de roches ciselées.
Il aura fallu une vingtaine de crashpads (des tapis de réceptions utilisés en escalade de bloc) pour sécuriser l’aire d’atterrisage ainsi que trois pareurs pour rendre l’ascension possible. Mieux vaut prévenir que guérir comme le dit si bien l’adage.
Cette vidéo permet à la Girwet de participer au concours organisé par le Boom Fest.
Une vidéo pour le Boom Fest
Le Boom Fest est un défi où vous devez proposer une vidéo d’une minute avec comme unique limite celle de votre imagination. Partager une histoire et proposer quelque chose de nouveau sur une durée courte est un beau challenge qui peut vous faire remporter une cagnotte de 25 000$, tout de même. La philosophie du concours ?
Make an impact – make it BOOM!
Que ce soit un récit, un documentaire ou encore une animation, celle-ci doit évoquer la gloire de votre geste. Et lorsque l’on regarde Mathieu Corbet gravir cette roche bretonne, la mission est un succès.
Il faudra patienter encore un peu après le 17 avril pour connaître la décision finale du jury.
L’escalade de la Girwet
Le vidéaste breton Stéfan Girres est aux manettes de Girwet Entertainment et propose régulièrement des vidéos de cette discipline sur sa page Facebook et sa chaîne Vimeo.
Ces contenus mettent en lumière la beauté de ce sport réservé aux plus chevronnés, là où le dépassement de soi prend le pas sur nos peurs.
Et puisque l’on ne change pas une équipe qui gagne, on prend les mêmes et on recommence :